C’est dans sa maison, au 5 impasse des Capucines, qu’Aurélie Dumille a ouvert, il y a environ 1 an, un atelier d’art Aurelll’Art. Un atelier situé en plein cœur de la zone urbaine de l’Etang-Salé les Hauts. Elle nous a accueilli, le 7 février, à l’occasion du vernissage de l’exposition « Ar Translation Restitution de résidence ». Le collectif d’artistes, ayant participé à ce projet, étaient là pour nous expliquer leur approche et les expériences partagées.
C’est dans sa maison, au 5 impasse des Capucines, qu’Aurélie Dumille a ouvert, il y a environ 1 an, un atelier d’art Aurelll’Art. Un atelier situé en plein cœur de la zone urbaine de l’Etang-Salé les Hauts. Elle nous a accueilli, le 7 février, à l’occasion du vernissage de l’exposition « Ar Translation Restitution de résidence ». Le collectif d’artistes, ayant participé à ce projet, étaient là pour nous expliquer leur approche et les expériences partagées.
Comme son nom l’indique, l’exposition « Ar Translation Restitution de résidence » présente des œuvres issues d’un séjour du collectif d’artistes réunionnais en Inde dans la petite ville d’Auroville. Ce projet a eu la chance d’aboutir grâce aux financements de la Direction des Affaires Culturelles de l’Océan Indien, de la Région, … et de la Mairie de Saint-Paul. Une oeuvre « sculpturale nourricière » a été réalisée par nos artistes réunionnais en collaboration avec des étudiants de l’école des Beaux Arts de Pondichéry. Cette oeuvre sculpturale réalisée en bambou, de plus de 6 m de haut), sert de support à des plantes mises au pieds de chaque « poteau », des plantes nourricières (fruits ou légumes). Une seconde œuvre picturale, là encore monumentale, a été réalisée à 30 mains avec des formes, des matières et des couleurs imprégnée de la culture indienne orientale.
Ce vernissage a permit une rencontre entre les artistes plasticiens de l’Etang-salé et David Sita.
Marie-Pierre Paris, une artiste engagée pour sa commune.
« J’ai eu la chance d’accompagner notre candidat au vernissage à l’atelier Aurellll’Art. En tant que plasticienne, c’est pour ma part, une avancée significative pour notre commune, quand on sait que des professionnels des arts visuels, des arts plastiques, du design habitent à l’Etang-Salé et ne demandent qu’à pouvoir partager et transmettre leur épanouissement culturel à la population de la ville.
David Sita m’a d’ailleurs confirmé son souhait de respecter le 1% artistique ; une mesure qui consiste à réserver obligatoirement un budget pour l’affecter à la réalisation d’une ou plusieurs œuvres d’art contemporain lors de la construction ou de l’extension de certains bâtiments publics.
L’art est un moyen d’expression et d’éveil, David souhaite démocratiser l’accès aux pratiques artistiques sur l’ensemble du territoire de la commune avec l’ambition de réduire les inégalités entre les quartiers. »